Mis à pied par son club du RC Lens et renvoyé devant le Tribunal correctionnel de Paris au mois de février prochain pour "violences en étt d'ivresse sans ITT", Nicolas Douchez est sorti du silence dans une interview accordée à nos confrères de 'L'Équipe'. Le gardien de 37 ans se défend d'avoir commis les faits qui lui sont repprochés de manière présumée lors d'une "soirée entre amis, dans un cadre privé, qui s'est prolongée et s'est mal finie". Et de préciser : "Elle s'est terminée par une dispute qui a un peu dégénéré, mais pas au point de ce qui a été balancé dans les médias".
Alors que certains médias ont décrit une scène d'une violence inouïe, Nicolas Douchez clame aujourd'hui qu'aucune des supposées violences sur la femme qui l'accompagnait le soir des faits (le 26 octobre dernier, ndlr) n'a été perpétrée : "Je regrette ce qui s'est passé, bien évidemment, mais jamais je ne m'en serai pris à quelqu'un. Je n'ai frappé personne. Sans rentrer dans les détails des procès-verbaux, ça a été dit, expliqué, constaté : il n'y a pas eu de violences physiques". Nicolas Douchez comparaîtra le 2 février prochain devant le tribunal correctionnel de Paris.